Il fait beau à Bangkok mais surtout il fait chaud ! Notre avion vient à peine d'atterrir et le changement se fait déjà sentir malgré l'air conditionné de l'aéroport. Avec presque six heures de vol dans les pattes, j'avoue que j'avais hâte de mes dégourdir les jambes. D'ailleurs je pousse un immense soupir de bien-être lorsque je sens le soleil chauffer ma peau. Nous sommes enfin à l'air libre ! Bon il est saturé d'humidité et nous donne l'impression d'être dans un four mais qu'importe ! Nous sommes en vacances et mon petit Yoshi-kun l'a bien mérité. Ce voyage, c'est mon petit cadeau pour fêter la fin du lycée mais surtout son diplôme. Fini la rigolade, à la rentrée il va devoir bucher pour forger son avenir même si à mon avis il est déjà tout tracé. Le mien l'était en tout cas. Lorsqu'on fait partie d'une certain classe sociale, les préoccupations sont différentes et c'est d'autant plus vrai pour moi qui dissimule au fond de mon cœur un sombre secret.
L'espace d'un instant un nuage noir voile mon regard mais je le chasse rapidement. Je suis moi aussi en vacances et pas en croisade. Ma vengeance attendra plus tard car je suis moi aussi ici pour m'amuser !
Pour notre séjour, je n'ai pas voulu m'encombrer. Je n'ai qu'un bagage à main avec le strict minimum. Le reste je l'achèterais au fur et à mesure. Ce sera l'occasion de ramener des valises pleines d'objets et de vêtements que je ne réutiliserais sans doute jamais. Mais qu'importe ! Je ne suis pas au yen près. Je ne sais plus exactement à combien était estimée ma fortune au trimestre dernier, mais elle comptait de nombreux zéro. Suffisamment en tout cas pour vivre dans le luxe et l'opulence pendant plusieurs vies. D'ailleurs cela m'aide à cultiver l'image d'un héritier superficiel et soucieux de son apparence, qui jette l'argent par les fenêtres tout en passant ses journées à écrire des romans. L'avantage d'être vu ainsi, c'est qu'on ne se doute pas de mes autres activités... Celles qui me permettent d'assouvir ma vengeance... « Bon, on se prend un taxi et on file à l'hôtel ? » J'ai hérité d'une chaine d'hôtel de luxe implanté partout dans le monde. C'est donc dans l'un d'entre eux que nous allons séjourner. « J'ai besoin d'une douche pour me requinquer et profiter du reste de la journée. » Je lui adresse un petit sourire concupiscent, lui faisant ainsi comprendre que j'aimerais la prendre avec lui. Une douche ou même un bain. Il y a un jacuzzi dans la chambre que j'ai réservé. D'ailleurs il n'y a qu'un seul lit mais il est suffisamment grand pour accueillir quatre personnes. Nous pourrons donc être accompagné s'il nous vient l'envie de pimenter nos soirées. Et à Bangkok on a le choix en la matière !
Fujiwara Yoshimaru
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Fujiwara Yoshimaru
15.06.18 22:16
Bangkok adrenaline
2047年03月
Notre voyage m'a épuisé. Pourtant, nous étions en première classe Yukimura et moi. Nous n'avons pas pris la classe économique, où nous aurions été serrés entre les autres touristes. Je crois qu'il voulait éviter d'être à côté d'un enfant qui hurle et qui pleure, ou encore d'un américain obèse dépassant à moitié sur son siège à lui. Je n'ai de toute manière que voyagé en première classe dans ma vie. La seule fois où j'ai été en compagnie des gens ordinaires qui n'ont pas les mêmes moyens, c'est quand mes parents et moi avions du partir en catastrophe à Los Angeles quand mon grand père paternel a été hospitalisé après une crise cardiaque lors de ses vacances. Je n'avais jamais vu ma mère dans un état pareil, elle a semblé détesté ça et était encore plus désagréable que d'habitude. J'étais assez jeune quand c'est arrivé, mais je me souviens que j'avais trouvé ça bizarre d'avoir un tout petit siège pas très confortable et d'être assis à côté d'une vieille dame que je ne connaissait pas le moins du monde.
Six heures de vol plus tard nous arrivons à Bangkok. En sortant de l'avion, je grimace en sentant la chaleur étouffante de la Thaïlande. C'est Yukimura qui a insisté pour m’emmener en voyage. Il est arrivé à la maison ce matin, et m'a dit de prendre quelques affaires dans un sac à dos ainsi que mon passeport. Le bougre ne m'avais prévenu de rien, et j'ai donc du annuler mon rendez vous chez le coiffeur demain. Si je ne le connaissais pas si bien, je me serais probablement offusqué ou demandé ce qu'il se passait pour partir ainsi en catastrophe. Mais... Sanada est un drôle de personnage. Le genre de type que l'on adore ou que l'on déteste, il n'y a pas d'entre deux généralement. Fort heureusement, nous nous adorons tous les deux. Et je me suis habitué à son côté très spontané, depuis trois ans que nous nous fréquentons. C'est seulement une fois à l'aéroport que j'ai compris où nous allions : Bangkok, Thaïlande embarquement porte 9.
Heureusement, même s'il m'a pris par surprise et embarqué dans cette aventure à l'improviste, Sanada a eu la délicatesse de me dire de prendre des vêtements légers. Une fois à l'aéroport, nous prenons un taxi pour aller à l'hôtel. J'esquisse un petit sourire en voyant le nom de ce dernier. Il appartiens à sa famille. Donc, à lui, puisqu'il est le dernier Sanada encore en vie. C'est tout de même pratique d'être l'héritier d'une chaîne d'hôtel. Plus que d'être le fils du PDG d'un grand magazine de mode et d'une ancienne mannequin. Une fois dans la chambre, je dépose mon sac et répond à son sourire ainsi qu'à sa demande. Une douche ?... Oh que oui, j'en ai besoin. J'ai transpiré sur le chemin, avec la chaleur étouffante de la ville. Je sens que je vais apprécier d'avoir pris des vêtements légers pour sortir !
Je le suis donc jusqu'à la salle de bain, et retire mes vêtements pour les mettre dans un coin, avec les siens. Je retire aussi mon boxer et rentre sous la douche avec lui. Je retrouve ses bras, et c'est un peu comme si nous reprenions là où nous nous étions arrêtés. Yukimura est un ami. Nous ne sommes pas amoureux, et nous ne le serons probablement jamais. Mais... ça ne veut pas dire que notre amitié n'a pas certains avantages.
« Vous êtes un très vilain cachottier, Yukimura-kun. Me kidnapper ainsi, pour m'amener dans un pays étranger... Je n'ai même pas encore changé mes Yens en Baths. Et je n'ai que 100 0000 yens en liquide sur moi... »
Je me penche vers lui pour lui offrir un baiser tout en collant mon corps au sien. Maintenant, c'est moi qui suis plus grand que lui. L'été dernier, j'ai pris cinq bons centimètres d'un coup.
« Je n'ai pas ma carte de crédit... Alors, je crois que je vais devoir être gentil avec vous, Yukimura-kun, puisque vous allez devoir m'entretenir. »
L’idée à l’air de le séduire. D’un autre côté il aurait tort de refuser vu la chaleur étouffante qu’il fait ici et l’air conditionné qui se répand abondement dans notre suite n’est pas assez efficace pour apaiser nos corps brûlants. Ce qu’il nous faut, c’est nous rafraichir intégralement avant d’enfiler de nouveaux vêtements propres mais surtout beaucoup plus légers et adaptés à notre nouvel environnement. D’ailleurs nous sommes à Bangkok pour un moment alors nous avons intérêt à nous acclimater et à prendre immédiatement de bonnes habitudes.
J’entre le premier dans la salle de bain et ne garde pas longtemps mes vêtements sur le dos. Yoshi-kun ne tarde pas à m’y rejoindre mais surtout à m’imiter. Nous avons partagé toute une année une chambre à l’internat alors autant dire que nous n’avons aucun secret l’un pour l’autre. Quant à l’intimité elle est inexistante dans la mesure où nous sommes des amants occasionnels en plus d’être amis. Nous ne sommes cependant pas amoureux l’un de l’autre. Il s’agit simplement d’une amitié profonde, au sens propre comme au sens figuré. Une amitié qui s’apparente sans doute à ce que pouvaient vivre Achille et Patrocle ou encore Alexandre et Héphestion. Mes références sont bien exotiques mais il faut croire que ma défunte mère m’aura sans doute trop nourri aux grands classiques grecs…
Spoiler:
Nous prenons notre douche ensemble. Elle ne sera ni la première ni la dernière. Yoshi-kun se tient face à moi et je constate qu’il a beaucoup grandit ces derniers temps. Je souris et passe mes bras autour de son cou pour le serrer un peu plus contre moi. L’eau est fraiche mais nos corps sont encore brûlants, peut-être de désir ? Après tout le vol a été long et l’attente frustrante. Nous avons bien le droit à une petite récréation avant de profiter pleinement de notre séjour, non ? « Oui je suis un très vilain garçon mais ça tu le savais déjà, n’est-ce pas ? » Je le laisse m’embrasser et réponds à son baiser tout en crispant mes doigts contre sa peau, en prenant toute fois garde à ne pas le blesser. « Oui tu devras être très gentil mais ne t’en fait pas, je le serais tout autant avec toi. » Je le fais doucement reculer et le plaque contre le carrelage de la douche tout en cherchant à tâtons le gel douche. J’en verse une grande quantité dans ma main et tout en l’embrassant goulument, je commence à laver son sexe, prenant tout mon temps pour à la fois l’éveiller mais également lui donner du plaisir. « Tu sens comme j’en ai aussi envie ? » Tout en continuant mes va et vient sur son sexe tendu, ma main libre s’aventure entre sa peau et le carrelage à la recherche d’autres zones sensibles et érogènes que je connais particulièrement bien et qui m’ont toujours donnés beaucoup de plaisir.
Fujiwara Yoshimaru
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Fujiwara Yoshimaru
05.07.18 17:07
Bangkok adrenaline
2047年03月
Spoiler:
C'est toujours agréable, de passer du temps avec Yukimura. C'est lui qui m'a initié aux plaisirs entre garçons. Avant de le rencontrer, ça ne m'avais jamais traversé l'esprit. Je ne savais pas que... ça pouvait être bon aussi. Je n'avais connu que des filles, partagé mes draps seulement avec des dames. Mais Yuki-kun m'a fait connaître un plaisir différent qui finalement est tout aussi bon. Un homme sait quoi faire à un autre homme pour lui faire du bien, nous aimons les mêmes choses puisque nous avons les mêmes corps.
Je me laisse plaquer contre le mur et caresser. Je ne vais pas l'en empêcher, n'est-ce pas ? Quelle personne saine d'esprit pourrait dire non à une branlette si la personne d'en face lui plaît ? Tant que l'on est consentants c'est le plus important. Je viens chercher les lèvres de Yuki-kun pour l'embrasser avec envie, et prend sa main pour la descendre sur mes fesses. Je ne veux pas qu'elle reste éternellement sur mes reins.
Depuis le temps, il sait que je suis gourmand. Que j'ai tout autant d’appétit que lui, si ce n'est parfois plus. Heureusement, nous sommes tous les deux des obsédés. C'est probablement pour ça que nous nous entendons aussi bien et que notre relation est claire : c'est seulement pour nous faire du bien. Pas pour nous dire je t'aime. Nous nous aimons, mais comme des amis. Comme des frères. Pas comme deux amoureux.
« Yukimura-kun... Vous me faites du bien.»
Je me doute que ce petit jeu va l'exciter. Pour lui, je suis prêt à jouer à l'escorte, au beau gigolo que l'on entretient en échange de sexe. C'est un rôle qui me va bien de toute manière, n'est-ce pas ?... Je ne suis pas un prostitué, mais je suis sur que si j'en avais envie, je ferais plus d'un heureux ! Et je gagnerai probablement très bien ma vie aussi... Mais ce n'est pas dans mes plans. Je vais intégrer une bonne école de commerce à la rentrée. Et surtout, fêter mon anniversaire ici à Bangkok. Quelle bonne idée il a eu!
« J'ai envie de jouir avec vous, Yukimura-kun. J'ai été frustré tout le voyage... Si proche de moi, et pourtant... On ne pouvais pas se caresser à cause des gens autour dans l'avion. »
Un large sourire fend mon visage lorsqu’il prend l’initiative de descendre ma main sur ses fesses. Je l’aurais sans doute fait moi-même au bout d’un moment mais j’aime le fait qu’il soit à l’initiative et qu’il me demande silencieusement de le prendre. Je me ferais un plaisir de le faire. J’aime baiser avec lui. C’est un petit plus dans notre amitié à côté duquel je ne passe jamais. De toute façon qui ne voudrait pas coucher avec Fujiwara Yoshimaru ? Même les hétéros reconnaissent volontiers qu’il est beau gosse, de là il n’y a qu’un pas vers une partie de jambe en l’air. « Moi aussi j’ai été frustré. » Je soude nous lèvre alors que je glisse mes doigts entre ses fesses, caressant son anneau de chair avec mon index. J’ai du savon plein les mains, il me sera donc facile de le préparer. Une pression et voilà que la première phalange passe. Un tout petit bout de doigt, ce n’est pas grand-chose. Il doit à peine le sentir. Je l’enfonce petit à petit, étouffant son gémissement dans notre baiser. La seconde phalange passe moins bien. On dirait qu’il ne l’a pas souvent fait par là, peut-être même que la dernière personne à être passé par ici c’était moi. Qui sait ? Je ne lui ai pas demandé s’il s’est enfin décidé à laisser d’autres hommes le baiser. D’autres hommes… ou bien d’autres garçons.
Une fois mon doigt à l’intérieur, je cherche sa prostate pour lui faire du bien. Je sais que c’est bon et qu’il s’habitue vite à moi. C’est bien car il y en aura d’autre. Je suis plutôt bien équipé alors il va falloir que je le prépare comme il faut avant de me glisser en lui. « Prêt pour le second ? » Je souris contre ses lèvres que je quitte à peine, juste le temps de respirer. Je frotte également mon sexe contre le sien. Ça me démange de le baiser mais je vais devoir prendre mon mal en patience. Ce n’est qu’une question de minute avant que je ne puisse prendre complètement mon pied.
Le second doigt passe avec difficulté bien que j’y aille en douceur. C’est la partie qui sera la plus longue. Celle durant laquelle je vais véritablement préparer le terrain. Après tout c’est un gros calibre qu’il s’apprête à recevoir entre les fesses. « Fais-moi signe quand je peux en mettre un autre. » Les désavantages d’être trop gâté par la nature c’est qu’il vaut mieux y mettre trois doigts plutôt que deux…
Fujiwara Yoshimaru
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Fujiwara Yoshimaru
16.09.18 18:15
Bangkok adrenaline
2047年03月
Spoiler:
Merde, ça fait du bien. Je gémis à la première phalange, c'est si agréable... J'en avais presque oublié les sensations depuis le temps. Je serre les épaules de Yukimura entre mes doigts et me laisse bien sagement faire. Je suis toujours docile avec lui, sauf quand il nous prend l'envie de jouer et que je décide de lui résister.
J’acquiesce quand il me demande si je suis prêt pour le second et laisse sortir un couinement d'inconfort. Ce n'est pas très agréable, mais... On doit passer par-là, pour pouvoir le faire ensuite. Et ce n'est pas fini, je sais qu'il m'en faudra un troisième. C'est toujours long avec Yukimura, mais je ne m'ennuie jamais. Il sait comment rendre ces préliminaires intéressants, puisqu'ils sont une formalité obligatoire.
« Yukimura-kun... Laisses-moi me mettre à quatre pattes pour toi s'il te plaît... Ce sera plus facile pour nous deux.»
Parce que là, tout de suite je suis tellement tendu que ça n'a rien d'agréable. Je le laisse donc retirer ses doigts, puis m'installe dans la baignoire. Je me cambre, peut-être un peu plus que nécéssaire et gémis de satisfaction quand ses doigts retrouvent leur place dans mon intimité. Ah, c'est beaucoup mieux ! Même si deux c'est déjà beaucoup, c'est bien plus supportable. Et donc... Agréable. Je gémis faiblement en me détendant peu à peu et ose enfin réclamer d'une petite voix hésitante :
« Est-ce que je peux en avoir un troisième, s'il te plaît ?... Je suis tout serré... ça ne va pas passer sinon, toi qui es si gros... »
Ce côté soumis, il n'y a que Yukimura qui l'ai vraiment vu. Je ne me livre généralement pas autant avec mes autres amants. Et j'aime... jouer à la petite chose soumise avec mon ami. Je me mord la lèvre en couinant de douleur quand le troisième arrive. ça tire un peu... Mais putain, c'est bon !
Je ne réponds pas immédiatement à sa requête. Je fais mine de réfléchir avant de lui murmure contre l’oreille : « Seulement parce que je suis gentil. » Je retire lentement mes doigts de son intimité et me retiens de lui claquer les fesses avant de le laisser changer de position et la vue qu’il m’offre est particulièrement agréable à regarder. Si j’étais déjà excité, je le suis bien plus présentement. D’ailleurs mes doigts ne tardent pas à retrouver leur place entre les fesses de camarade qui semble s’amuser à jouer les salopes. C’est un rôle qu’il ne joue que pour moi, c’est en tout cas ce qu’il me laisse à chaque fois entendre et je dois dire que cette idée me plait beaucoup. Lui qui joue les séducteurs avec les dames… elles ne s’imaginent pas un seul instant qu’au lit avec moi, c’est un tout autre garçon.
J’esquisse un petit sourire lorsqu’il me réclame à troisième doigts et ne tarde pas à le satisfaire. Je pourrais le faire languir mais ça retarderait mon propre plaisir et il me tarde de me glisser entre ses petites fesses. Ils ne sont pas nombreux à pouvoir y goûter alors Yoshimaru est particulièrement serré. Je le sais et je le sens à la manière dont ses muscles se resserrent autour de mes doigts à chaque va et vient.
« Je crois que c’est bon. » Je retire mes doigts puis glisse une main dans ses cheveux pour l’attirer vers moi ou plutôt le guider vers mon entrejambe douloureusement en éveil. « Je crois qu’il vaut mieux l’humidifier un peu si on veut que ça passe comme il faut. Et applique-toi bien sinon c’est toi qui aura mal. » Pour l’encourager, je me penche vers lui et cueille d’abord doucement puis avidement ses lèvres, glissant ma langue dans sa bouche pour partager un profond et passionné baiser. Il me tarde d’ailleurs de la sentir contre mon sexe. Sa langue mais surtout ses lèvres lorsqu’elles se refermeront sur ma verge et qu’elles l’avaleront complètement. Quoique je ne suis pas particulièrement exigent en fellation. Je veux juste une petite gâterie avant de me glisser lentement mais sûrement en lui.
Fujiwara Yoshimaru
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Fujiwara Yoshimaru
25.10.18 14:07
Bangkok adrenaline
2047年03月
Spoiler:
A genoux devant Yuki-kun, la respiraction saccadée je me laisse embrasser avec passion. Est-il possible d'être encore plus excité que je ne le suis déjà ? Je me lèche les lèvres en regardant son sexe, louchant probablement dessus au passage, puis relève mon visage vers lui. Un sourire étire mes lèvres, que je lèche avant de répondre poliment :
« Itadakimasu. »
Ma bouche connaît bien le corps de mon ami, depuis le temps. Surtout cette partie là, même si les autres ne lui sont pas inconnues. Je ferme les yeux pour venir embrasser son sexe tendu de désir pour moi. Je suis beau. Très beau même, et j'en ai conscience. Qui ne banderais pas pour moi ? Même le pape ayant pourtant fait voeu de chasteté me trouverais probablement très excitant.
Je prend le temps d'embrasser et de lécher Yuki-kun sur toute sa longueur, ma main se joignant à mes lèvres affamées. Autant la savourer comme il se doit, n'est-ce pas ? Ce n'est pas tous les jours que nous nous adonnons à ce genre de plaisir ensembles. Tout du moins, plus maintenant que nous ne sommes plus des camarades de chambre à l'internat... car quand nous partagions encore le même dortoir, nos rapports étaient quotidiens.
Mes lèvres se glissent sur son gland, et je relève le regard vers lui tout en commençant ma fellation. Délicatement, je prend sa main droite pour la glisser dans mes cheveux humides. C'est une sensation que j'aime bien, quand j'offre ce genre de plaisir à un homme. Ou a une femme également. Sentir des doigts se serrer dans mes boucles brunes, se crisper sous le plaisir que je procure.
Je ferme les yeux pour me concentrer, frémissant de plaisir. Par envie de me soumettre, je croise mes bras dans mon dos, pour seulement m'occuper de lui avec mes lèvres et ma langue taquine. Mais aussi pour lui signaler que s'il le souhaite... Il peut bien volontiers m'imposer un rythme au quel j'obéirais sans broncher. Arrivé à la moitié, je marque une pause et lève les yeux vers lui en toussant légèrement dessus. S'il veut plus, il va devoir commencer à forcer. Et ce ne sera pas pour nous déplaire.
Yoshimaru sait parfaitement comment me satisfaire et depuis le temps que nous partageons ce genre de moment intime, nous connaissons bien nos limites. Je sais que je peux le forcer un peu sans l’offusquer. Il aime quand je le bouscule un peu et je ne me gêne pas pour le faire. Avec la main que j’ai glissé dans ses cheveux, je tiens fermement sa tête et commence à lui donner des coups de bassin. Par moment je sens les muscles de sa gorge se contracter, signe que je suis allé trop loin et qu’il s’étouffe avec ma bite. Je veille à ne pas non plus en faire trop même si Yoshimaru encaisse plutôt bien, j’ai envie qu’il apprécie également ce moment. Tout n’est qu’une question de dosage au final. Être ferme, faire preuve de poigne et en même temps savoir être doux et respectueux même si dans le présent scénario, je ne suis pas censé le traiter avec respect. Mais c’est un accord tacite entre nous. C’est un rôle. « Tu aimes me sucer la queue, hein ? » Mes coups sont plus rapides et plus brutaux jusqu’à ce que je le repousse vivement. C’était bon, trop au point que j’ai failli me laisser aller. Il faut dire que tout chez lui est excitant. Sa manière de me regarder, celle qu’il a de me sucer ou encore ses petits gémissements qu’il pousse. Non vraiment, Yoshimaru est un amant parfait à défaut d’être le petit-ami idéal. C’est également mon meilleur ami. Celui dont je suis le plus proche. « Ç’en est assez ! » J’esquisse un sourire pervers puis lui ordonne de se retourner. Une fois son délicieux fessier offert à moi, je n’hésite pas à frotter mon sexe dure et humide de salive contre son intimité. Je ne le pénètre pas immédiatement même si je l’ai longuement préparé, je savoure plutôt ce moment en jouant avec son anneau de chair, pressant à peine mon gland contre tout en simulant des va et vient. « Tu as envie que je te la mette, hein ? » Je ricane légèrement avant de me décider à traverser son anus, le pénétrant lentement et savourant chaque frottement de muscle jusqu’à être entièrement en lui. C’est si bon que je m’en mords la lèvre inférieure. « Tu es toujours aussi étroit. J’en conclus que tu n’en as pas beaucoup connu à part moi et que tu ne l’as pas fait depuis longtemps. » Ce qui n’en est que plus excitant.
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