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[2058年04月24日] Colorblind love ft. Ogata Kintaro
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Fujiwara Daisuke
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Mikata ✘ Matsumoto
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Fujiwara Daisuke
22.05.18 13:15

Colorblind love


Je ne reste pas souvent du côté de Shibuya lorsque je travaille la nuit, après mon service chez le taré ou ses acolytes. A vrai dire, j'ai plutôt tendance à fuir le quartier pour être certain qu'il ne puisse mettre la main sur moi et me ramener une fois de plus dans son antre, peut-être pour y passer la nuit et donc me faire très probablement perdre un paquet de thunes. Mais pour lui, je fais une petite exception depuis quelques mois. Ce type...j'ignore qui il est réellement, ce qu'il fait comme métier, mais je sais qu'il vient toujours me voir à une heure précise de la nuit.

Trois heures du matin. Je l'attends dans ma ruelle habituelle, étrangement peu éloignée de la maison close du taré. C'est ici que je l'ai rencontré pour la première fois. Pour moi, il n'était qu'un client comme les autres. Je partais pour Shinjuku, là où je termine ma nuit avant de rentrer à la maison. J'avais déjà refait mon maquillage, pris une douche, changé de fringues et coiffé mes longs cheveux rouges à la couleur tout juste refaite; en un mot, ce soir-là, j'avais conscience d'être un peu plus beau que la moyenne. Seuls mes yeux rougis par l'herbe dénotaient un peu sur le tableau, mais je crois qu'il s'en foutait royalement. De toute façon, lui aussi est un putain de junkie, comme la plupart des gens qui écument ce quartier.

Trois heures. C'est l'heure habituelle de sa venue. Je crois qu'il travaille plutôt tard le soir, j'en sais rien, je m'en fiche un peu à vrai dire. Tout ce que je sais, c'est qu'il paye plutôt bien comme type par rapport aux autres, même si ce n'est évidemment pas suffisant pour que je me sorte de la merde avec mon loyer toujours en retard et la drogue que je dois payer régulièrement pour m'assurer de ne jamais plus subir de crise de manque. Mais au moins quand je suis avec lui, nous consommons ensemble. Certes, ce sont des drogues plus dures que celles auxquelles je suis habitué, mais tant qu'il ne m'injecte rien je m'en fiche.

Le voilà qui arrive, avec sa dégaine à la fois soignée et négligé. Lui, il est là pour m'aider à tester de nouvelles façons de flatter mes clients. Kazuki disait que ça rapportait plus, que les gens sont plus enclins à te donner davantage de thunes lorsque t'avais bien réussi à les flatter et à leur vendre du rêve. Moi, j'avoue que je n'ai jamais fait beaucoup d'efforts. Après tout, je suis prostitué par contrainte, pas par choix. Mais avec lui...je sais pas, c'est presque naturel. Je ne ressens pourtant rien pour lui, c'est clair, mais...il ne m'est pas insupportable comme la plupart de mes autres clients. Un large sourire fend mon visage tandis que je me rapproche de lui, sans trop oser le toucher pour le moment. Il peut vite se mettre en colère pour aucune raison, parfois...et je préférerais que ça arrive une fois bien au chaud dans un hôtel ou je ne sais où plutôt que de le voir piquer une crise dans la rue et me laisser en plan après tout les efforts que j'ai fait.

"Ogata-sama, je suis heureux de vous voir, ce soir! Votre journée s'est-elle bien passée?"

S'intéresser à lui, lui faire croire qu'il est plus important que tous les autres, le faire parler de lui pour se soulager, et emmagasiner un maximum d'informations pour s'assurer de ne pas faire de conneries. C'est Kazuki qui m'a donné les méthodes, là où moi je l'ai plutôt formé sur de la pratique. On se complète bien, il semblerait.

EXORDIUM.
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22.05.18 14:42
Putain j'en ai marre d'être sur ce kimono. Il va sans dire que ce sera la plus belle pièce que je n'ai jamais fait mais c'est aussi celle qui m'aura demandé le plus de temps et de minutie. Tout ça pour un client étranger. J'aurai préféré qu'il aille sur une pute que j'aurai pu me payer après. Enfin... Au moins cela va me rapporter de l'argent et cet argent va me servir à aller voir une personne pour m'aider à oublier la douleur de mes doigts. Et je sais parfaitement qui je vais aller voir. Avec lui je sniffe et j'avale des cachets toujours différents de la dernière fois. J'apporte de la nouveauté et je la lui fait tester. De ce que je me souviens, rares sont les fois où je me suis senti aussi bien avec une personne. Et c'est bien ce qui commence à me faire peur avec lui. Je me suis promis de ne jamais m'attacher à qui que ce soit. C'est d'ailleurs pour ça que je vois des prostitués... Cependant... Je n'avais pas prévu de tomber sur quelqu'un avec qui je me sentirai aussi bien.

Cette personne c'est Die. C'est certainement le plus beau prostitué qu'il m'ait été donné de voir, et pourtant j'en ai vu. Évidemment la première chose que l'on voit chez lui c'est sa chevelure d'un rouge aussi ardent que le désir que j'ai de le posséder, mais rien n'est plus éclatant que son sourire. Moi qui ne sourit jamais, je crois qu'il m'a étiré le coin des lèvres plus d'une fois. Ou du moins j'ai eu l'impression de sourire moi aussi lorsqu'il me regarde comme ça.

Pour le moment je ne vois plus que lui, par flemme de trouver quelqu'un d'autre, mais aussi parce que je traverse une période ou, inconsciemment, je dois avoir besoin de stabilité. Après tous les déménagements que j'ai fait, les embauches et les licenciements de mon équipe pour au final rester seul. Peut être que j'embaucherai de nouveau. Ou pas. Après tout on n'est jamais mieux servi que par soi même et je suis tombé sur tant d'incompétents...

La première fois que je l'ai payé je sortais directement de ma soirée de travail. Il était trois heures, c'est l'heure à laquelle je sors voir des putes pour baiser une heure et rentrer me coucher. Depuis que je le paie lui, je me surprend à arrêter mon travail avant pour avoir le temps de me laver avant d'aller le voir. C'est stupide et ça ne me ressemble pas. Après tout il doit en voir des vertes et des pas mûres mais je crois que l'opinion qu'il a de moi compte. Même s'il ne m'aurait jamais avoué que je pue ou que je suis sale. Je suis stupide et je m'abruti toujours un peu plus à cause de lui.

Comme d'habitude il est là, sur le trottoir, il m'attend. Et moi je m'approche sans un sourire, sans un mouvement plus pressé qu'un autre qui trahirait mon empressement à l'avoir contre moi.

"Bonsoir Die... Je ne te demanderai pas comment s'est passé la tienne alors évitons ce genre de discussions inutiles."

Évidemment je ne peux pas m'empêcher d'être froid. D'habitude je m'en contrefous, avec lui je m'en veux. Parce que si je fais ça c'est d'abord pour me protéger, imaginer Die dans les bras d'autres hommes pourrait me faire vomir sur mes vêtements.

"Conduis nous dans un hôtel pas trop miteux, j'ai de la nouvelle poudre à te faire tester."

Comme d'habitude je lui prends le bras, je ne sais pas pourquoi j'ai pris cette habitude mais je crois savoir qu'il apprécie cela. Je ne me suis jamais montré violent avec lui ni condescendant mis à part qu'il subit généralement ma mauvaise humeur durant le premier quart d'heure. C'est qu'il me faut du temps pour me détendre.
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Fujiwara Daisuke
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Fujiwara Daisuke
26.05.18 18:27

Colorblind love

Quand bien même je me suis pris une bonne grosse réflexion désagréable, je ne peux m'empêcher de sourire en le regardant. Honnêtement, ce n'est pas le premier à m'envoyer bouler et ce ne sera probablement pas le dernier. Son agressivité cache au fond quelque chose de plus doux, comme s'il avait seulement peur que quelqu'un découvre sa vraie identité. Je ne cherche pas à le connaître, loin de là; je ne fais qu'appliquer ce que j'ai appris, et si j'arrive à le mener jusqu'à m'apprendre des choses sur lui, c'est que j'ai réussi à me montrer convainquant. Et puis...qui sait? Peut-être que nous aurions pu être amis, dans une autre vie.

"Tout ce que vous voudrez, Ogata-sama!"

Je me laisse attraper par le bras, et commence à marcher vers la rue principale. C'est difficile dans ce genre de quartier de trouver un endroit pas trop dégoûtant. Paradoxalement, ce sont les love hotel qui ont le mieux résisté au temps et à la corruption, eux qui baignaient déjà dans quelque chose d'un peu...limite. Je ne connais pas leur histoire, et je m'en fiche pas mal à bien y réfléchir. Tout ce que je sais, c'est qu'au moins il s'agit là d'un endroit plutôt neutre où on ne risque pas de trouver des choses douteuses comme des draps ou accessoires non lavés.

J'entraîne donc mon client de ce soir jusqu'à un love hotel que j'ai découvert avec un autre client, un endroit que j'ai presque apprécié malgré le client en question qui m'a bien fait chier jusqu'au bout. Je pense que ce sera parfait pour Ogata, qui n'a de toute façon pas l'air d'être très chiant tant que l'endroit n'est pas glauque et dégueulasse. Enfin...tant qu'il n'est pas dégueu, parce que nous baignons dans le glauque ici. Ce n'est donc pas la peine d'en attendre trop. Par contre, qu'il ne s'attende pas à ce que je paye pour la chambre, hein! Les thunes que j'ai sur moi, c'est ce qu'il me faut pour payer mon putain de proprio et un peu d'herbe ou de nouvelles pilules. Je dois vérifier régulièrement mon stock, il descend beaucoup trop vite à mon goût.

Heureusement, je n'ai pas besoin de beaucoup marchander. Ogata sort directement sa thune et paye à l'accueil, après avoir sélectionné la chambre en question; un endroit plutôt sobre où nous allons pouvoir baiser tranquillement le restant de la nuit. L'avantage avec lui, c'est qu'en plus de plutôt bien payer, il me permet d'économiser mon stock. Je m'avance dans la pièce et m'asseois sur le lit, conservant par habitude une pose un peu suggestive. Je suis une pute, après tout.

"J'espère que cet endroit vous plaît, Ogata-sama. Nous sommes tranquilles par ici, c'est plutôt bien insonorisé et personne ne viendra nous emmerder de la nuit."

Je l'invite à s'approcher, et l'attire à moi pour lui voler un baiser plutôt chaste, comme si je n'osais pas vraiment l'embrasser sans autorisation. Avec un autre client, j'aurais probablement accéléré les choses pour expédier le truc au plus vite, l'épuiser et peut-être l'obliger à repayer un deuxième coup au petit matin pour bien se vider les couilles. Mais avec lui...je prends mon temps. Ce n'est pas un trop mauvais coup, alors autant en profiter, non? C'est une tête de con quand il le veut, mais il me détend un minimum et j'ai besoin de ça après une journée de calvaire.

EXORDIUM.
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27.05.18 14:00
Je ne suis pas du tout mécontent de son choix. L'hôtel semble assez propre et bien entretenu pour ce qu'il s'y passe la nuit. C'est agréable de rentrer et de ne pas sentir le foutre ou la transpiration. Je regarde la carte des chambres à thème proposé. Mais je n'ai pas vraiment de fantasmes bien précis, je n'ai besoin que de mon corps pour jouir et faire jouir alors à quoi bon. Je prends la chambre la plus sobre possible, celle qui ressemble à une chambre d'hôtel normale. Je m'adresse directement au secrétaire alors que je sens Die se coller déjà contre moi. Heureusement que j'ai un peu de self-control.

"La chambre 11."


Je ne demande pas, j'exige. Et je paie. Par chance elle est au premier étage, je ne me serai pas vu monter au troisième avec la journée que j'ai passé. Die ne perd pas son temps à regarder la chambre avec plus d'attention et va directement sur le lit. Il doit en voir pas mal des chambres de la sorte de toute façon. Je viens directement me poser à côté de lui sens ses lèvres se poser sur les miennes. Il à l'air timide à croire que je lui fait peur. Je finis par le pousser pour qu'il s'allonge et le surplombe dans la seconde. Mes lèvres s'écrasent d'elles mêmes sur les siennes et partent se perdre dans son cou sans mon autorisation. Mais visiblement ça ne déplait pas mon amant de nuit.

Je ne suis pas d'un naturel bavard. Je déteste par dessus tout parler pour ne rien dire alors mis à part avec les clients ou pour donner des ordres, ma voix ne s'élève que très peu. Je laisse alors mes mains traduire le désir mais surtout l'empressement que j'ai de le baiser. J'aimerai dire faire l'amour mais cela implique une douceur et une attention que je n'ai pas dans les plaisirs charnels. J'aime jouir et faire jouir. C'est tout.

Dans la suite de mes idées je commence à le déshabiller entre plusieurs caresses. Je suis peut être pressé mais j'aime encore plus me faire désirer. S'il j'arrive à obtenir un mot, un soupire de supplice de sa part alors j'aurai gagné.

Sa peau froide m'électrise à mesure que je la découvre. C'est un véritable délice que je m'offre chaque nuit avec lui. Paradoxalement elle réchauffe la glace qui me sert de cœur et je retrouve un petit côté humain, animal même lorsque je me retrouve nu contre lui. Plus rien d'autre ne compte si ce n'est le posséder corps et âme.

J'ai dit que je ne voulais pas lui faire l'amour? Il semblerait que je me fourvoie moi-même... C'est en tout cas ce que j'aimerai me faire croire mais la passion que je mets à l’œuvre ne tromperait pas un aveugle. Je m'engouffre avec lui dans les limbes d'un désir plus profond que celui de la chaire, et je m'y noie un peu plus chaque nuit entre ses soupirs et ses cheveux flamboyants.

Je découvre enfin le dessous de sa ceinture et ses jambes pour découvrir non sans un sourire qu'il est déjà bien réveillé à cet endroit. Je passe une main dessus pour le faire réagir. Ses gémissements achèvent enfin d'amener mon désir à son point culminant et je décide alors de me déshabiller à mon tour.

Je lui écarte les cuisses et me rallonge sur lui pour le pénétrer doucement. Je ne le prépare jamais mais je me doute que même après une dizaine d'homme dans la journée, la première pénétration reste un peu délicate. Et puis c'est Die; je suis ce que je suis mais je fais attention à ne pas le blesser, je ne sais pas pourquoi c'est plus fort que moi malgré mon empressement.
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Fujiwara Daisuke
28.05.18 15:15

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Ogata est bien réveillé ce soir, et je crois que mon petit baiser l'a incité à aller plus loin tout de suite. Je soupire malgré moi de plaisir tandis que ses mains parcourent mon corps, à la recherche de toujours plus de contact. Ah...c'est agréable de baiser avec quelqu'un qui sait s'y prendre! Je me demande pourquoi il va voir des putes, lui qui est à la fois agréable à regarder et bon au lit. En général, c'est tout ce qu'on regarde chez un homme, non? Il est peut-être parfois insupportable, mais quand on aime on peut passer outre. Ou dans mon cas, quand on est grassement payé au bout, on peut tout supporter.

Je me laisse dévorer avec plaisir, mais ne reste pas sans rien faire telle une étoile de mer; mes mains savent trouver ses zones érogènes depuis le temps que je le rencontre, et j'en profite pour parcourir sa peau de mes ongles après l'avoir déshabillé lui aussi entièrement. Nos vêtements sont éparpillés dans toute la pièce, mais qu'importe! Nous les retrouverons bien au petit matin, lorsqu'il sera temps de nous séparer après avoir peut-être convenu d'un autre rendez-vous. En attendant...je préfère profiter du seul client un peu prévenant de toute ma soirée.

La première pénétration est loin d'être une partie de plaisir, quand bien même j'ai été malmené pendant des heures avant lui. Je grimace malgré moi et ferme les yeux, me concentrant au maximum pour essayer de calmer les tiraillements que je ressens encore. C'est ma malédiction, ça. Être toujours étroit comme un jeune puceau alors que je salis mon corps depuis plus de dix ans...au moins, ça semble plaire aux clients qui se font une joie de me faire du mal. Mais lui, je crois qu'il fait attention à moi...du moins un peu. Il ne me prépare jamais, mais ce n'est pas important puisqu'il n'est pas le seul. Je crois qu'il ne sait pas faire aussi, j'en sais rien, je suis pas dans sa tête et je ne connais pas d'autre putes avec qui il baise lorsqu'il ne vient pas me voir. Car je me doute qu'il est très occupé avec d'autres parfois, lorsqu'il s'absente pendant plus d'une semaine ou même avant de me connaître. Ce type...je ne sais pas trop comment le prendre. Je suppose que je n'ai pas à me poser la question, ce n'est pas un amant ni même un ami...ce n'est qu'un client parmi tant d'autres. Il a juste le droit à un petit traitement de faveur de ma part, car il me fait du bien et que je survis grâce à ses yens. Hmm...peut-être que si j'arrive à le rendre un peu accro à moi, j'aurai trouvé mon riche mécène pour m'entretenir une fois trop vieux pour tapiner? J'ai encore du temps devant moi, mais je devrais y songer sous peu. Mais à quoi je pense, moi...? Je suis devenu aussi horrible que Kazuki! Ce n'est pas mon genre d'exploiter ainsi les autres pour mon plaisir personnel. Je me sens mal de penser comme ça, et pourtant c'est au sujet d'un client...ah, je suis peut-être trop gentil pour faire une bonne pute, après tout.

Ses coups de reins ne tardent pas à m'arracher à mes songes coupables, et je soupire de plaisir sans même penser à simuler. C'est l'avantage avec ce type, il me fait économiser les efforts...même si du coup je suis bien plus épuisé à la fin de nos séances qu'avec un vieux con incapable de me faire jouir. Enfin on ne s'attend pas à ça lorsqu'on est pute, c'est beaucoup trop rare, ne? Je n'ai pas besoin de me forcer à bander aussi, il sait m'exciter tout seul comme un grand. Ah, comme j'aimerais que tous soient comme lui...mais s'ils viennent voir des putes, c'est pour le simple fait qu'ils ne sont pas assez attirants ou doués pour rencontrer d'autres personnes gratuitement. Ou alors ils ont la flemme...c'est toujours une démarche égoïste de toute façon. Sauf pour lui...car il met toujours du coeur à me faire plaisir, comme si nous étions deux véritables amants. C'est tout bénéf' pour moi, ne?

"Ah...Ogata...sama...vous pouvez...hnn...vous pouvez aller plus fort, ne? S'il vous plaît..."

Un gémissement plus audible passe la barrière de mes lèvres, je rejette la tête en arrière et enroule définitivement mes jambes fines autour de ses reins tout en guidant ses mouvements. Il se lâche enfin, et là je dois avouer que je prends mon pied. Il manquerait plus qu'une petite pilule ou un bon joint pour compléter le tout, et je serai au paradis de la débauche. Je n'arrive même plus à me sentir mal de penser ainsi, comme si me plonger si profondément dans le vice me faisait perdre la tête. Je finis même par prendre les rênes, le faisant basculer sur le lit pour le surplomber, m'empalant de moi-même sur ce membre gorgé de sang qui prouve au moins que cet homme me trouve à son goût malgré mes défauts. Ce soir, je n'ai plus envie de penser. Je veux seulement m'abandonner au vice, profiter d'un instant de répit dans cette vie insupportable, profiter d'un homme qui comme tous les autres se sert de moi pour assouvir ses fantasmes.

EXORDIUM.
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28.05.18 18:46
Ses cheveux, sa peau, sa voix... Je n'arrive pas à lui trouver un seul défaut. Le rythme reste lent pour l'instant mais je veux attendre qu'il soit bien détendu du derrière, mais surtout bien tendu devant. Je continue de lui dévorer la peau du cou pour l'aider à se détendre. Moi je pourrai faire ça toute la nuit. Sa peau est douce il doit en prendre soin, ce n'est pas comme la mienne, je me néglige un peu trop mais moi je n'ai personne à qui plaire. Enfin je m'en fiche complètement, j'ai de l'argent, de la coke et des putes. Une équation qui mène au bonheur non?

Finalement c'est lui qui fini par me demander d'aller plus vite. Au moins je suis sûr qu'il est prêt à me recevoir entièrement, à recevoir mes coups de rein. Ses pied sur mon bassin m'aident à caler un rythme comme il sait si bien le faire. Il me montre ce qu'il aime, c'est bien la seule personne qui ne me donne pas envie de me venger de ma mère. Je ne trouve rien d'elle en lui, il a un petit coté androgyne mais il ne ressemble pas non plus à une femme...

Son corps est tout ce qu'il y a de plus parfait et appétissant. Je lui caresse les flancs, les cuisses et soulève encore un peu plus son bassin pour pouvoir le pénétrer plus loin encore si c'est possible. Mais il décide de renverser la situation et prend place au dessus de moi pour me chevaucher comme il sait si bien le faire. J'aime le voir basculer la tête en arrière pour chercher de l'air. J'aime le sentir se rasseoir sur ma longueur en s'écrasant toujours un peu plus violemment sur mes cuisses, mais j'aime par dessus tout pouvoir admirer ses muscles abdominaux travailler et se contracter sous l'effort. Tout comme observer son membre lui même tendu rebondir contre mon ventre. Mais je ne peux pas venir dans cette position parce que je suis trop détendu. Je lui laisse quelques minutes pour m'offrir cette vue et le pousse pour l'inciter à se mettre à quatre pattes.

C'est dans cette position que je me montre le plus violent parce que je sais que c'est celle qui me fait généralement jouir le plus vite. Alors je donne tout. Mes hanches claquent dans un rythme saccadé contre ses fesses tandis que mes ongles s'enfoncent dans le peu de chair qui recouvre les os de ses hanches. Un léger grognement annonce que je suis sur le point de jouir. Mon rythme ralentit mais je mets encore un peu plus de force dans mes coups de butoir pour me faire atteindre l'orgasme libérateur qui s'accompagne d'un râle de plaisir.

Je sais qu'il n'a pas joui. Mais c'est fait exprès.

Je me retire de lui et m'assieds pour reprendre ma respiration. Je me penche vers ma veste et en prend un petit sac en tissu de ma confection. J'en sors deux sachets, un de poudre et un autre de pilules. Il y en a deux que j'aimerai tester. Un mélange entre un stimulant sexuel et physique. Un cocktail de vitamine que je voulais essayer avec lui. J'en mets une dans ma bouche pour l'avaler et une autre pour revenir l'embrasser en essayant de lui transmettre la pilule dans la bouche.
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Fujiwara Daisuke
30.05.18 12:39

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Nos ébats se terminent, mais je reste malgré tout frustré lorsqu'il m'abandonne sur le lit. J'étais sur le point de terminer moi aussi, et je sais qu'il arrive généralement à me faire atteindre le plus parfait des orgasmes...mais là? Là, Ogata a une autre idée derrière la tête pour me faire du bien ce soir. C'est obligé, ce serait bien la première fois qu'il me laisse en plan sans rien faire! Je me retourne pour le regarder fouiller dans ses affaires, un peu perplexe même si je me doute de ce qu'il va sortir de là-dedans. Mes cuisses collent d'un mélange de foutre et de sueur, ma respiration est toujours irrégulière et je ne débande pas le moins du monde. Objectivement, Ogata est beau mec même s'il n'est pas vraiment mon style. Trop...soumis? J'ignore comment le décrire, mais il me fait un peu penser à certains collègues qui aiment beaucoup se faire prendre par d'autres hommes, voire même des femmes parfois. Je me garde bien de lui faire quelconque réflexion cela dit; c'est mon client, et je ne dois pas l'embarrasser. Même si j'avoue que si j'étais un peu plus maître de mes choix, je ne serais pas le seul à prendre cher ce soir...

Ah, mais mes pensées vagabondent bien trop dans ce contexte. Je suis peut-être un peu trop excité pour me retenir, quand bien même je connais ma place. Aucun client ne m'a jamais laissé inverser les rôles, ça ne m'est arrivé qu'avec Kazuki...et encore, je m'en veux toujours de lui avoir fait ça. Enfin c'est lui qui a demandé, mais...ah, je devrais arrêter de penser à ça, je risque de dire des choses que je regretterai sûrement par la suite. Tout ça est si frustrant! Et Ogata qui me regarde de son air habituellement froid, mais de ses yeux brillants comme deux perles de jais plongés dans les miens. Je me demande quelle nouvelle drogue il va me faire tester, ce soir...

Habituellement, je refuse de prendre des substances avec les clients, peu certain des effets que celles-ci pourraient avoir et surtout effrayé de me faire pigeonner par des idiots qui ne veulent pas payer. Mais lui? Je lui fais confiance là-dessus, il est réglo. Il a peut-être peur que je rassemble une bande de putes pour dézinguer son lieu de travail aussi, ça peut y jouer...mais j'aime à penser qu'il est simplement réglo. Je lui souris lorsqu'il revient vers moi, accepte le baiser profond qu'il m'offre...et récupère au passage moi aussi une petite pilule colorée. S'il m'a laissé dans cet état et s'il me fait gober ça, c'est qu'il doit y avoir une raison. Et quelque chose me dit qu'il s'agit de performances sexuelles...

Il ne faut pas longtemps à la drogue pour agir sur mon corps. Ca commence par des bouffées de chaleur plutôt désagréables, qui finalement deviennent largement supportables et même plaisantes. Je me sens divinement bien, et j'ai même particulièrement faim de sexe...j'ignore ce qu'étaient ces pilules, mais putain, elles sont efficaces! Ses mains sur ma peau me donnent encore plus envie de lui sauter dessus, comme si elles m'envoyaient de petites décharges électriques. J'ai terriblement envie de lui...et lui? Ressent-il la même chose que moi?

"Ah...je...c'est délicieux ce que vous m'avez donné là, Ogata-sama...mais peut-être est-ce un peu dangereux pour vous, non? Je vais vous épuiser pour les heures à venir..."

Je ressens cette irrésistible envie de me coller à lui, de le chauffer comme jamais je l'avais fait avec un client. Je le repousse sur le lit et grimpe au-dessus de lui, mes lèvres caressent sa peau qui frissonne elle aussi à ce simple contact. La drogue dilate mes pupilles, mes mains sont avides de le toucher, ma bouche de le dévorer. Mon entrejambe tendu au possible me fait presque mal, mais j'évite soigneusement de la toucher de peur de la voir exploser tout de suite. Je n'ai pas besoin de l'exciter à ce que je peux constater, puisqu'il est déjà dur comme du roc contre ma hanche...et ah...voilà que nos deux sexes se rencontrent...je ne peux empêcher un gémissement de s'échapper, étouffé bien vite contre les lèvres de mon client dans un baiser débauché. Dans cette position, j'ai envie de beaucoup plus...j'ai même envie de lui passer dessus, tiens. C'est moins bon pour moi que de me faire enculer, mais c'est tout aussi jouissif de voir son visage se tordre sous le plaisir ultime. Ah...j'ai si faim de lui...Si faim de tout...en plus, il ne m'a pas encore fait jouir, ce petit con...mes mains pétrissent ses cuisses, mes dents marquent sa peau de manière éphémère, ma langue taquine ses perles de chair durcies par le plaisir. Il me laisse faire pour le moment...mais saisit-il où je veux en venir? Je n'ai pas envie de le forcer, de ne pas lui demander son avis. Je veux lui faire du bien en prenant moi aussi mon pied. C'est le but de la manoeuvre, non? C'est pour ça qu'il me paye.

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31.05.18 10:50
Je souris légèrement contre ses lèvres en le sentant se réchauffer grâce à la pilule. Mon corps ne tarde pas à ressentir les effets de cette drogue moi aussi. Mais je préfère ne rien laisser paraitre pour l'instant, il s'en rendra compte bien assez tôt. Je quitte ses lèvres pour qu'il me donne ses impressions qui visiblement le satisfont. J'allais attaquer ses lèvres de nouveau mais c'est lui qui donne l'assaut. Il est certain que j'avais déjà pensé à le laisser me dominer une fois mais je ne l'ai jamais laissé faire... Trop inquiet et peureux de voir ressurgir certains souvenirs trop douloureux certainement.

Pourtant c'est contre lui que ma peau frissonne, que mon souffle devient erratique et que mon membre durcit encore plus. Connaissant l'oiseau que j'ai au-dessus de moi, il me chauffe plus qu'il n'a vraiment l'intention de me prendre. Et pourtant une certaine chaleur entre mes reins, certainement due à la pilule, me donnerait presque envie de le laisser faire. Et vu comme il s'applique comme jamais à me faire languir en me couvrant de sa langue et de ses lèvres... Je pourrai presque croire qu'il en aurait envie aussi?

Ce n'est pas quelque chose que je demanderai sous aucun prétexte. Die, s'il a envie de me prendre, n'ose sûrement pas faire le premier pas. Peut-être qu'il a peur, peur que je le repousse et que je le laisse avec son érection, peur de perdre un client qui le paie bien... Je ne sais pas mais toujours est-il qu'il ne fait que tourner autour du pot depuis quelques minutes qui me paraissent des heures avec l'érection palpitante que nous affichons tous les deux.

Et puis merde j'en ai marre que personne ne plonge dans le vif du sujet. Je le repousse et le roule sur le côté pour reprendre le dessus sur lui. Il est légèrement plus grand que moi mais bien plus maigre, aussi je n'ai pas beaucoup de mal à le dominer. Je m'assieds à califourchon sur son bassin et collant mon érection à la sienne. Un gémissement conjoint s'échappe de nos lèvres et j'imagine que nous nous retenons tous les deux de ne pas venir tout de suite. Je souffle un peu pour reprendre mes esprits et me concentrer de nouveau sur mes intention premières. Je remonte un peu pour venir m'assoir sur son membre et je bouge un peu mon bassin dessus pour le taquiner.

"Est-ce cela que tu veux?"

Vu comme il pose ses mains sur mes hanches, j'avais visé juste. Grisé par la drogue et par ses caresses, j'oublie un peu la position dans laquelle je suis et dans laquelle je vais visiblement finir. Je continue de le taquiner de mon bassin en l'observant perdre la tête. Je sens ses doigts se diriger plus rapidement que je ne l'aurai voulu vers mon intimité, mais je viens lui attraper ses poignets et les repose sur mes cuisses. Les seuls doigts autorisés à toucher cette partie là ce sont les miens. Il m'incombe donc à moi seul de me préparer à son intrusion. C'est d'ailleurs ce que je m'apprête à faire sous ses yeux, voyant qu'il ne semble visiblement plus patient.

Le premier doigt est déjà assez désagréable. Je chasse la douleur en plongeant mes yeux dans ceux emplis de luxure de mon partenaire et rajoute un deuxième tout aussi désagréable. Inutile de préciser que ce sera ma première fois. Je n'ai pas envie de lui mettre une pression inutile mais je n'ai surtout pas envie de m'infliger une honte que je pourrai éviter. Je bouge un peu mes doigts, guidé par l'expérience que j'ai dans ce genre de pratique envers mes prostitués et finis par les retirer, las d'attendre et de me contorsionner sous les yeux de Die qui n'en peut sûrement plus.

Je me relève et prends son membre entre mes doigts pour le diriger vers mon intimité, et commence à m'asseoir dessus. J'imagine qu'avec la pilule, la douleur est un peu amoindrie, mais ça fait tout de même mal putain. Je tente de ne rien lui en montrer mais un léger gémissement plaintif finit par sortir d'entre mes lèvres. J'irai tout de même jusqu'au bout.
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Fujiwara Daisuke
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Mikata ✘ Matsumoto
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Fujiwara Daisuke
01.06.18 12:44

Colorblind love

Je ne suis pas totalement sûr de comment me comporter avec lui. Je le sens particulièrement excité grâce aux pilules, mais...accepterait-il d'aller si loin avec moi? Je ne suis qu'une pute ramassé sur un trottoir après tout, pas le genre de type à qui on a envie de confier les rênes à moins d'être particulièrement friand de ce genre de choses. Kazuki m'en a raconté de belles à ce sujet, de clients qui voulaient être traités comme des petites chiennes en chaleur plutôt que nous faire subir leurs fantasmes tordus. En soi, c'est un fantasme comme un autre...mais ils n'ont pas vraiment la carrure de Ogata, d'ordinaire. En même temps, ce type ne ressemble en rien à mes autres clients. Je me demande encore ce qu'il fout avec moi, mais...je n'ai pas tellement le loisir de me poser la question très longtemps. Ce n'est ni le lieu, ni le moment de le faire.

Il prend les choses en main, et par "chose" j'entends bien entendu parler de ça. Finalement, il semblerait que nous allons continuer sur cette lancée. L'a-t-il déjà fait? Sûrement, s'il accepte de se faire prendre par une pute. Je n'ose pas imaginer qu'il soit vierge le pauvre, il s'agirait de ne pas faire de faux pas. Mais il ne veut pas que je le prépare...c'est unique en son genre, ça. J'ai jamais vu personne se foutre tout seul des doigts ici, à part mes collègues et moi-même avant le service pour être certains de ne pas nous faire déchirer par le premier client. C'est...un peu spécial, je dois dire. Mais je n'ai rien à ajouter, il fait ce qu'il veut. Tant qu'il me paye à la fin, s'il a envie de se doigter en me regardant, qu'il le fasse! C'est à moi de faire le maximum d'efforts pour qu'il se sente bien, après tout.

Je ne m'y attendais pas. Ogata s'est à peine préparé avant de s'empaler sur mon membre, et si la sensation d'étroitesse est particulièrement grisante, je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour lui. Qu'il n'utilise pas de lubrifiant pour moi, soit. Ma salive suffit largement. Mais pour lui...? Je lis la douleur sur son visage, et je crois qu'il se retient à grand-peine de hurler. Il aurait dû me laisser faire, je suis un professionnel dans ce domaine tout de même! Sans lui demander son avis, je le fais basculer sur le côté et quitte son intimité agressée. Je ne veux pas lui faire mal. Je veux qu'il se dise que je suis le meilleur coup qu'il ait jamais eu, même si je n'ai pas vraiment cette prétention. Je dois me dépêcher avant qu'il se rende compte de quoi que ce soit et m'empêche d'aller au bout, ou même m'engueule comme il sait si bien le faire. Le lubrifiant est heureusement à portée de main, merci à cet hôtel d'être prévenant envers ses clients. Il faut dire que certaines putes y ont élu domicile, à force de se faire tringler ici.

J'enduis généreusement mon membre de liquide et fais de même avec l'intimité de mon client, doux au possible de peur de le voir changer d'avis en quelques secondes. Je ne veux pas lui faire de mal, seulement lui montrer comment ne pas douiller. Lorsque je reviens en lui, s'il n'est toujours pas totalement détendu, ça passe tout de même beaucoup mieux et je sais qu'il s'y habituera très vite. Putain...qu'est-ce qu'il est étroit par contre...on dirait moi dans ma jeunesse. Si je n'en doutais pas autant, j'aurais bien cru qu'il était vierge, là. Par habitude, je caresse ses cheveux doux, les yeux dans les siens, brillant d'excitation. Il commence à se détendre...je pense que je vais pouvoir y aller.

"Laissez-moi vous faire du bien, Ogata-sama...le plus de bien possible."

Ses jambes autour de ma taille, j'entame de lents et profonds mouvements qui le font aussitôt réagir. Ah...j'ai si chaud, putain! J'ai envie de le défoncer, mais cette simple pensée me fait peur. Je ne suis pas aussi pervers d'habitude...ça doit être la pilule. Il est dans le même état de toute façon, non? Alors je ne dois pas me sentir mal...oui...je vais lui montrer qu'on peut prendre son pied lorsqu'on est en-dessous. Je ne suis pas aussi expérimenté que dans l'autre sens, mais je sais tout de même comment m'y prendre. Et puis je commence à connaître son corps par coeur, à force de le rencontrer...

EXORDIUM.
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14.06.18 2:41
Putain c'est un véritable enfer. Je ne sais pas ce qu'est cette pilule mais je crois que je viens de prendre la pire décision de toute ma vie, à savoir essayer de me faire prendre. Mais j'en ai terriblement envie. Et je dois avouer que le membre de cet homme participe à mon envie. Il est aussi beau que le corps qu'il orne sans aucune disgrâce. J'allais arriver au bout de la pénétration et donc au summum de la souffrance quand il décide de changer de position. Le temps que je comprenne ce qu'il s'apprête à faire et avant même que je ne l'engueule, il enduit mon intimité de lubrifiant glacé qui paradoxalement, rallume la flamme du désir et calme ma colère. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ose me dominer de la sorte. Il me prend au dépourvu. Et d'ailleurs il commence à me prendre tout court si j'en crois la pression qui s'exerce sur mon anneau de chaire.

C'est toujours aussi douloureux mais c'est vrai que ça passe plus vite avec ce lubrifiant. Je grimace et fronce les sourcils malgré que je n'arrive pas à me détacher de ses yeux qui se font tout aussi pénétrants que son corps à cet instant. Ses doigts filant mes cheveux m'aident quelque peu à m'apaiser mais je reste tout de même vraiment serré autour de lui.

Une fois au fond il se met à me parler de ses mots toujours aussi doux qu'excitant. Je ne sais pas si je veux que ses mouvements soient à l'image de ses paroles ou si je veux qu'il me pilonne comme moi j'ai l'habitude de le lui faire. Je relève mes jambes pour les enrouler autour de sa taille, lui indiquant que je suis prêt. Près à recevoir ne douleur qui vient de lui, prêt à le laisser le loisir de découvrir l'emplacement de ma prostate, prêt à le laisser me faire l'am... me baiser. Oui c'est juste de la baise je ne dois pas l'oublier.

Ses premiers mouvements me font mal mais c'est certainement la douleur la plus délicieuse à laquelle je n'ai jamais goûté. Le sentir en moi est finalement encore plus euphorisant que je ne l'aurai cru. J'ai envie de le laisser m'utiliser, de le laisser faire moi ce qu'il veut. Je veux être sa chose, sa possession le temps des soupirs et de gémissements.

"Aaah... Putain... C'est tout... ce que tu as... dans le ventre...?"

Je le regarde en lui adressant un sourire provocateur lui suggérant d'aller bien plus loin que son rythme actuel. Je le laisse faire de moi ce qu'il veut mais je ne veux pas m'endormir non plus. On a toute la nuit mais je ne veux pas la passer à dormir.

Je passe mes mains sur son dos les laissant me révéler les muscles fin de cet homme que j'affectionne aussi surprenant que ce soit.. C'est une pute, et une pute c'est vraiment impossible à aimer. De toute façon je ne sais même pas ce que c'est aimer. Je l'apprécie parce que pour l'instant c'est clairement celui que je préfère, de loin aussi le meilleur coup que je n'ai jamais eu. Il est parfait. Parfait physiquement et sexuellement parlant... Mais est-ce que je suis prêt à supporter quelqu'un auprès de moi tous les jours...? Si j'en étais certain, sûr que je l'aurai déjà acheté à son maque pour qu'il vienne vivre avec moi. Mais lui, m'aurait-il aimé lui aussi...?

"Oh !"

Je suis surpris lorsqu'il donne un coup que j'imagine très bien placé vu a décharge électrique que ça m'a procuré. Visiblement il a compris puisque je le sens insister au même endroit. Cette fois je n'ai même plus de pouvoir sur mes pensées, toutes sont concentrées sur les mouvements de ses hanches fines contre les miennes. Moi qui suis d'un naturel silencieux je laisse pourtant quelques sons s'échapper de ma bouche. Qui aurait cru que je sois capable de tonalités aussi aigües...
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